Pour parler de Sens, du Val, de Vade✝Mecum, de Trip to Skye ou de l'actu !
Le Pôle Sud. Gigantesque structure labyrinthique,dédale de la déchéance ensevelie sous la banquise. Véritable fourmilière en perpétuelle mouvement, en lutte pour le survie, où règne le chacun pour soit. Du moins telle est la vision qu'a Makoto, jeune femme de 20 ans, vivant dans se raz de marée humaine, sans identité, car orpheline.
De nature discrète, elle a toujours appris à se débrouiller seule, ne comptant sur personne. Telle une ombre solitaire.... Une ombre... Ironie quand tu nous tiens. Makoto est spécial. Du moins c'est ce qu'on lui à dit, car contrairement à la majorité de l'humanité, elle ne possède pas de double dans l'Ombre Monde. Oh elle n'est pas la seule, mais autant dire que ça lui fait une belle jambe. Repéré à l'âge de ses 5 ans, par Soren Astère Sollipsis et son étrange boite, elle fait partie d'un groupe de résistant, la division BUG, en lutte pour... bah qu'importe, ça lui fait un toit sous la tête, une paye et puis de la compagnie.
Makoto n'est pas.. non n'est plus du genre à s'attacher aux gens, et ça à cause d'une personne. Son nom? Elle ne le connait pas, tout ce dont elle se souvient , c'est des coups reçut, du viol et... de cette marque qu'il a sur la main, une espèce de symbole. Depuis elle voue sa vie à le retrouver et le tuer. Elle avait alors 14 ans.
Pour arriver à ses fins, elle dû apprendre à se battre, à se renforcer, a devenir une arme aiguisé et précise. Et c'est auprès de Gladius Sword, le président du Conseil, et son mentor, qu'elle pu devenir une ombre porteuse de la mort. Elle passa un test, en l'affrontant afin de mettre à l'épreuve ses capacités. 47 ans qu'il a le vieux, et autant dire qu'il paraissait en avoir vingt de moins. Agile, rapide et puissant, Makoto eu bien du mal à l'atteindre, mais pourtant elle finit par le blesser. Une égratignure serait plus juste, mais cela suffit à prouver sa valeur.
Elle adore se battre, mais elle a aussi trouver quelque chose qui lui permet de s'évader de temps en temps. Un hobby pour certains, une manière d'assouvir sa curiosité maladive pour elle. La mécanique. Elle adore réparer les vieux truc, cherchant à comprendre leur fonctionnement, et puis, ça parle pas et ça se plaint pas. Et puis... peut être est ce un moyen de réparer ou combler cette faille immense qui traverse son âme?
Makoto est une belle femme et elle le sait. Elle aime jouer de ses atouts, charmant les hommes pour arriver à ses fins. Mais alors qu'elle commençait à "jouer" avec un certain Stig, un BUG lui aussi. Elle se mit à ressentir quelque chose qui avait depuis longtemps disparut, et commença alors à s'éprendre de lui.
Makoto, la messagère de la mort, aimait de nouveau....
But à long terme : pour Eugen, il existe quelque chose de plus grand encore que les Runes. Il croit en une Grande Unification des Runes et est persuadé que celui ou celle qui y parviendra connaîtra l'Illumination ultime et se verra devenir une sorte de dieu vivant qui aidera le monde entier à se réparer et retrouver sa grandeur d'antan. Cette Illumination, c'est la quête personnelle de Eugen, son Graal. Cependant, il n'en a pas dit mot à qui que ce soit... Pour l'instant?
Relations :
Poloma : ce fut pour Eugen une grande sœur, voire une mère adoptive dès la mort de ses parents. Il l’a côtoyé pendant trois ans pour ne plus jamais la revoir ni même en entendre parler, ce dont il est triste.
Soren Astère Sollipsis: à huit ans, Poloma a mené Eugen à Soren. Depuis, le chaman a toujours apprécié échanger avec l’homme, surtout pour parler de ce qu’il y a ailleurs dans le monde. De la part Soren, il a entendu un grand nombre de récits qui l’ont toujours fait rêver, bien que certains sont probablement déformés pour éviter le partage d'informations. À quelque part, Eugen le voit comme un oncle, le genre qu'on aime retrouver dans les réunions de famille.
Maria Greedway : les connaissances d’Eugen en médecine naturelle ont très vite été appréciées par Maria. S’il ne peut pas nécessairement soigner les maladies ou les blessures, ses talents offrent tout de même aux patients un soulagement fort apprécié.
Secret : admire les compétences musicales de Hamelin et aimerait bien pouvoir faire de même.
Autre :
Possède une acuité visuelle de 20/20, ce qui en fait un excellent archer (il a appris très tôt auprès de Poloma à chasser à l'arc, mais à son entrée dans la résistance il a perfectionné son tir).
Se bat très efficacement en corps-à-corps à l'aide d'un bō rétractable aux deux extrémités fait d'un matériau composite léger et résistant, mais s’il ne l’a pas sous la main et déniche un objet s’apparentant à un bâton long, il saura se débrouiller.
De par sa nature de chaman, Eugen peut ressentir naturellement l'énergie spirituelle des êtres vivants et, en y mettant la concentration nécessaire (pas besoin de rituel), peut déterminer la nature de l'être en question. De même, plus il côtoie les même personnes, plus il pourra facilement discerner l'énergie spécifique de chacune d'entre-elle. Encore une fois, avec la concentration requise, il peut aller jusqu'à percevoir les émotions des gens qui lui sont chers (ou moins chers). S’il pénètre dans un lieu ou qu’il touche un objet qui a une très grande importance pour un ou plusieurs individus, il est possible, mais pas automatique, qu’il ressente la marque énergétique laissée sur l’objet.
En harmonie avec la nature, il connaît les plantes, les minéraux et les animaux, ce qui lui permet entre autre de créer remèdes et poisons divers ou encore des pâtes de différentes couleurs et consistances qu’il utilise lors de ses rituels.
Toujours par sa nature de chaman, Eugen peut pratiquer plusieurs types de rituels pour utiliser ses capacités surnaturelles développées au fil du temps. Cependant, chaque rituel requiert des ingrédients précis, des incantations variables, un temps de réalisation spécifique, mais plus que tout, il faut qu’Eugen soit bien reposé pour être certain de réussir, car l’énergie spirituelle demandée pour les rituels ne vient pas en quantité infinie. Pour l'instant, voici ce que le chaman sait faire, mais il compte apprendre davantage afin de pouvoir mieux aider les autres avec ses capacités.
Le chaman traine toujours sur lui un carnet noir dans lequel il inscrit toutes les idées folles qui peuvent lui passer pas la tête, que ce soit sous forme d’écriture, de poème, de dessin… Il réfère à ce cahier comme étant sa « banque à idées » et rares sont ceux et celles qui ont pu lire son contenu.
Au fil des années, Eugen a développé une étrange manie de s’imaginer, voire se persuader que le monde qui l’entourait était remplis de signes pour le guider dans sa quête personnelle. Serait-ce un effet de sa pratique du chamanisme? Pour cette raison, il présente une obsession sur des choses autant étranges que banales, par exemple l’identité du Mystérieux Anonyme dont jamais personne n’a entendu réellement parler. Cet état de pensé se traduit par des crises de paranoïa qui peuvent surgir à tout moment. Il est à noter qu’en moment de crise, Eugen ne peut faire aucun rituel, mais que sa perception énergétique se voit exacerbée, ce qui brûle beaucoup de son énergie spirituelle en peu de temps.
Physiquement, le chaman est mince, pas particulièrement fort physiquement, plus petit de taille que la moyenne, mais néanmoins il s’est entraîné dur afin d’améliorer son agilité, sa flexibilité et sa vitesse de réaction. Certain(e)s le surnomment affectueusement « petit singe » pour cette raison, chose que Eugen lui-même n’apprécie pas particulièrement.
Dès mes 5 ans, je jouais de la flute en reprenant des airs antiques plus ou moins certifié d’un certain Mossar. Je n’ai plus jamais arrêté de jouer. Les partitions intéressantes et novatrices ont été vite maitrisées et digérées. Suite à une dégénérescence prématuré de mes cornées, ma vue est très limité. Je me suis lancé dans un style libre que j’appellerai « nouveau djase ».
J’ai pratiqué tout instrument que l’on dit à vent, allant même à en imaginer voire même les concevoir avec l’aide et les conseils de Vigo.
Il m’a permis de fabriquer « voidwind », une flute unique en son genre, me permettant d’aller de l’infrason à l’ultrason, et de pouvoir aussi de toucher directement la personne que mes attentions.
Je peux apaiser et même endormir en jouant dans les gammes d’infrason. Les armures et autres obstacle ne font qu’atténuer légèrement mon flot musical, mais il les traverse.
Par mes gammes d’ultrason, Je peux rendre sourd, rendre aveugle, à vie ou momentanément, provoquer des dégâts mentales plus ou moins irréversible.
J’ai réussis à me faire obéir de quelques animaux au cerveau simple, on m’a ainsi affublé de ce nom là, qui au demeurant e plait plutôt. Par ma pratique, j’ai pu me sensibiliser et me prémunir à des fréquences en limite de nos capacités auditives, et je peux ainsi entendre réverbération des ultrasons, copiant les chauves souris.
J’ai réussi à séduire bien des groupies, par mes notes si aigue et sensuelle, mais il en est une que je veux séduire, sans ce stratagème, c’est Maria. Je lui apporte mon aide en soulageant par mon art, les enfants et autre orphelins qu’elle doit soigner.
Je paye ma dette, également à notre communauté, en animant les soirées dans un bar-club. J’y enchaine morceaux après morceaux de ma composition, pour mon public, dont Un homme qui vient le soir écouter ma musique plutôt triste.
Je ne connais rien de lui si ce n’est son attitude « sur le fil », il n’est pas causant, vit surement au jour le jour. Je ne saurais dire ma préférence entre ne lui le voir (pour cause de « départ définitif » ) ou bien me réjouir me ma musique lui fasse faire un pas de plus. Très discret, et vif, il ne me semble pas avoir été aidé par la nature.
Mais il semble prendre un peu de plaisir à écouter ma musique et en être reconnaissant. Sans compter que ma musique ne lui a jamais affecté de blessures.
Si Jack O’Garish voulait m’accompagner en duo , on ferait un malheur.
Je lutterai pour que Le tyran soit jugé par le peuple, et que le libre arbitre devienne universel.
But à long terme : Trouver, analyser et adapter les technologies de l'ancien monde pour le bien de la résistance et du reste de la population humaine.
1- Je ne sais pas qui ont été mes parents ni même mon nom de famille. Je pourrai très bien faire parti d'une des plus importante famille connu. Qui sait ...
2- Dès le plus jeune âge, j'ai montré des aptitudes mentales qui font de moi un surdoué. Ces aptitudes me permettent aujourd'hui d'apprendre et réagir rapidement à une situation.
3- Passionné par le vieux monde, j'ai lu tous les livres de la bibliothèque. Du coup, j'en sais plus que tout le monde sur le sujet (sauf ceux qui y ont vécu bien sur).
4- Soren Sollipsis, un très grand ami de la famille, devient mon mentor à 8 ans. Il me prend dès lors sous son aile et m'enseigne tout ce qu'il sait. Encore aujourd'hui, il est des choses qu'il arrive encore à m'enseigner.
5- C'est à l'âge de 10 ans que je décide de mettre à profit mes aptitudes pour le compte de la mécanique.
6- Ayant entendu parlé de mon talent par Soren, Michel sétra en personne m'offre mon premier boulot à 16 ans. L'objectif étant d'utiliser tous les moyens nécessaire en ma possession pour réduire les couts de fonctionnement de la ville. Michel est toujours mon patron.
7- Pourtant doué en mécanique, je me suis vite retrouvé limité par manque de connaissance en électronique. J'en ai donc profité pour étudier le domaine ainsi que les langues et le dessin (avec une spécialité pour les plans).
8- Pour pouvoir au mieux avancer dans mon travail, je me suis beaucoup rapproché de Vigo Néméo. C'est alors que nous avons découvert que nous partagions la même idéologie et la même façon de penser. A force de travailler ensemble, nous sommes devenus des collègues très proche et ce malgré notre différence d'âge.
9- Lors de cette collaboration avec Vigo, nous avons travaillé ensemble sur un projet que je ne peux malheureusement pas dévoilé. Seul lui, moi et la personne bénéficiaire du projet sommes au courant.
10- A 18 ans, je m'entraînais au tir. J'avoue avoir un faible pour les carabines de l'époque. De temps en temps, Gladius s'entraînait avec moi. Je pense que ça lui faisait bien de discuter de tout et de rien. Il m'a même un peu aidé en me donnant quelques conseils.
11- A 20 ans, lors d'une sorti hors de la ville, j'ai découvert lors d'une fouille dans une caverne de glace, les restes d'un campement. Visiblement, celui-ci datait de très longtemps. Le basard règnait, on aurait dit que le campeur était parti rapidement en emportant que le minimum. J'y suis retourner jour après jour. J'ai finis par trouver ce que je cherchais au bout d'une semaine : Le "campeur", ou plutôt son squelette. J'ai pris tout ce qui était intéressant et suis reparti en ville pour examiner mon butin. C'est là que j'ai trouvé le chapeau et le trench que je porte aujourd'hui.
12- J'ai passé toute ma dernière année à me préparer dans le but de partir. J'ai me suis donc "occuper" de mon équipement et des éventuels bricoles dont je pourrais avoir besoin.
Aujourd'hui, habillé d'une tenue chaude avec par dessus mon trench et mon fameux chapeau, une canne complétant ma tenue (plus pour le style qu'autre chose), je suis prêt. J'enfile mon sac à dos, ferme la porte de chez moi et pars dire au revoir à tous ceux qui me sont chers...
But au long terme: recouvrir la planète d'un champ de protection
Relation:
Apprécie beaucoup Soren Sollipsis grâce à ses recherches en médecine.
Admire Chrysoar grâce à qui la nourriture arrive au pôle Sud
Souhaite la mort de Myphos Quadria pour garder le plus de monde en vie.
Secret: Tombé amoureux de Makoto Suzurï.
Aime chercher les ennuis
Déteste qu'on s'en prenne aux plus faibles
A passé tout son entraînement dans le froid
A failli mourir 53 fois de 35 façons différentes pendant son entraînement
Porte toujours ses gants fétiches
N'ai jamais versé une larme
A appris à arrêter son rythme cardiaque pendant 5 minutes
A besoin de son quart d'heure quotidien de rigolade
Je jette un regard vide à Hamelin, esquissant un léger sourire charmeur, un de ceux qui m'a toujours ouvert un tas de porte.
M'avançant alors vers lui, avec un déhancher appuyé je lui dis:
Ma nuisette?... souhaiterais-tu donc voir ce que j'ai en dessous.
Tout en passant ma main le long de mon corps, du bas vers le haut, relevant légèrement ma petite tenue jusqu'au au des cuisses, à la limite.
Arrivé à son niveau, je me colle assez près pour qu'il sente juste ce qu'il faut de ma poitrine qui le frôle...
Ou alors... je peux t'attraper et te balancer dans le couloir afin de nous assurer qu'il n'y a aucun piège... Non? Anisi on fait d'une pierre deux coup. On s'assure des lieux, et si il y des pièges, on se débarrasse d'un idiot.
Mon regard est froid et le sourire charmeur fait place à un rictus sadique.
Il l'a connait, et sait qu'elle en serait capable.
Bon a moins d'une autre remarque de ce genre je propose qu'on sorte d'ici et qu'on aille jeter un coup d'oeil à ce couloir. Oh et je préfère l'escalier. Vu ce qui se passe, l'ascenseur ne me tente pas , mais alors pas du tout...
Tu viens Stig?
Je me retourne d'un mouvement rapide m'avançant hors de cette chambre.
Écoutant la conversation, je constate que ce qui en ressort ne sont qu'encouragements et démonstration de confiance à notre encontre.
Le fait que Gladius s'évapore ainsi, me fait supposer que ce devait être lui, la silouhette du couloir.
Il nous prouve ainsi que nous ne sommes pas seuls face à cette épreuve, ou alors qu'il va falloir montrer notre aptitude à la réussir seul.
-"On n'a passer l'audition pour les rôles . Manque plus qu'à connaitre le nom de la pièce. Les autres comédiens nous attendent sûrement au pied de l'ascenseur...
-"La vie est un théatre dont la fin n'est pas encore écrite !
...
...
-"Faîtes gaffe aux tomates .... Elles peuvent être acide, voire mortelle... Ha, ha, ha, show must go on !
~Cette voix...~
*Cette chevelure rousse. Pourquoi ne l'avait-il pas reconnue tout de suite? Probablement parce que de voir celle qui l'avait recueillie naguère n'avait jamais plus donné signe de vie et qu'il n'en avait jamais réentendu parlé depuis qu'il était arrivé au Pôle-Sud, car, contrairement à ses compères, Eugen avait connu une petite partie du reste du monde, quoique "connu" était un bien grand mot.
Il avait voyagé sur le continent Nord-Américain, suivant toujours cette jeune femme qui jamais ne lui avait dit son véritable nom. En fait, c'est lors de son premier voyage avec sa sauveteuse que le jeune enfant avait entendu les membres d'une tribu sauvage qui était amicale à leur égard l'appeler "Poloma". Et depuis cette époque, c'est le seul nom que le chaman avait utilisé.*
-Comment...
*Dans sa tête, trop de questions se bousculaient et Eugen n'arrivait plus à suivre son propre raisonnement, ne sachant trop s'il allait faire une nouvelle crise de panique. La femme s'était levée et lui faisait maintenant face. Lorsqu'il n'était qu'un enfant, sa sœur adoptive lui semblait incroyablement grande et pourtant, à présent il la dépassait à peine. Ses iris verts éclatants plongés dans les siens, d'un brun tirant sur le grenat, Poloma lui demandait ce qu'elle était pour lui.*
~Est-ce que tu existe vraiment?~
-Tu es... Tu es celle qui m'a sauvé. Celle qui m'a montré le monde. Celle qui m'a forgé tel que je suis aujourd'hui.
*Malgré son bouleversement, les mots sortaient avec fluidité, sans hésitation aucune.*
-Tu es la personne la plus importante dans ma vie. Tu m'as offert trois années de découverte, d'aventure et de voyages qui seront toujours gravés dans ma mémoire.
*Cette fois, la vue du chaman se brouilla et une larme discrète coula doucement le long de sa joue droite. Ne voyant plus quoi ajouter, il afficha un sourire des plus sincères, revivant dans sa mémoire des souvenirs heureux.*
Les portes étaient ouvertes, et Jack n’était pas peu fier. Enfin un petit peu d’action. Commençant à se chauffer, il prit les devants du groupe alors qu’ils se retrouvaient en pleine base. Parfait. Enfin un environnement que Jack connaissait. Mais devant lui trônait un…animal peut être. Un être tout petit, qui avait l’air tout doux, et intrigué par notre présence. Exactement comme ils étaient intrigués par sa présence. Quand le chaman indiqua que c’était un lapin, le jeune homme tiqua. Un lapin. C’est tout mignon comme nom pour un animal mignon. Pourquoi ne pas le prendre dans ses bras ?
« Ahah, un lapin ? Drôle de nom pour un drôle d’animal ! J’veux le prendre dans mes bras, Viens ici p’tite bestiole ! »
Les bras en avant, près à intercepter l’animal, il s’élança, ignorant l’avertissement d’Hamelin. Tout ce qui pouvait bouger, Jack voulait le toucher. Curieux, jovial et plein d’entrain, il se dirigea vers ledit lapin en courant.
Voyant que la conversation prend une tournure de débat, je me réconforte intérieurement en me rendant compte que eux aussi ne savent rien.
Personne ne sort vraiment du pôle sud, alors une caverne de cette taille peut rester caché aux yeux du monde une éternité Hamelin. Et rien ne nous dit qu'on est toujours au pôle sud.
Voyant que mon enthousiasme pour la découverte de l'inconnu m’emmène loin dans ma réflexion, je redescend un peu sur terre pour ne pas embrumer encore plus le cerveau de mes amis. J'enlève mon chapeau et le montre à mon compagnon.
Regarde ce chapeau et ce long manteau. Ou crois tu que je les ai trouvé ? Pas dans notre chère ville en tout cas.
Je le remet sur ma tête.
Je ne pense pas que ce soit nous qui contrôlions ce "monde mental" comme tu l'appelles. Si c'est un test, ce serai trop risqué pour nos juges de nous laisser la possibilité de transformer ce monde comme bon nous semblerai.
Puis j'arrive au niveau de Jack pour entendre le lapin.
Tenez ! Voilà, c'est de ça que je veux parler! Ça, ça ne serait jamais arrivé dans le monde réel.