par Morgane » 10 Mai 2015, 10:41
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Ah, ces serveurs de Fidridane, ce n'est plus ce que c'était ! Bon, tu connais le loustic, il va te dire que "Ce sera bien évidement expliqué dans Cosmo". Mais puisqu'on est là, autant commencer à défricher le terrain. Puisque tu as lu ma rune attentivement, tu sais que les Golem d'Aziliz sont en fait.... de l'Acide, puisqu'il ont été créé de toute pièce par Lumnos à partir de larmes de désespoir absolu (hoho !). En d'autre terme, les Golems sont de la négation/du non lien. C'est pour cela qu'ils peuvent tisser des liens ET ne jamais subir les liens des autres. Le monde ne peut pas leur imposer de lien. C'est l'origine de leur formidable Liberté-
Donc si tu transposes cette si habile et merveilleuse métaphore dans la réalité des Bugs, la philonite est leurs Golems, donc de l'Acide, donc du non-lien. Tu me suis toujours ?
Tu pourrais considérer que Julia possède un "potentiel Philonite", comme tous les bugs de Séléné et que si elle survivait -après tout Tes Bugs pourraient bien T'empêcher de faire ce que Tu veux de ton histoire-, elle serait capable d'acquérir une armure.
Mais tu as raison, c'est assez paradoxal avec mon histoire (HAHAHAHAHA ! Tu vois ! C'est comme ça aussi que je détruits Tes plans !) Peut-être que... Peut-être que... Tu as raison et qu'il y a là une piste à creuser. Poussons la métaphore un peu plus loin et imaginons que...
Il suffit, démon. tu en as bien assez dis. Les paradoxes ne sont que de la logique, et j'ai bien l'intention de rétablir la Vérité dans ma Rune. Ne t'imagine pas, Camille, que les histoires de ce vieux fou soient l'exacte description des faits de ce monde. Ce n'est qu'un Conteur. Tu auras les réponses dans Cosmo, j'y veillerais.
Site-supplément pour "Sur la route de Chrysopée"Le site de Rose des Vents pour y retrouver mes projetsTiens,
voilà du matos,
voilà du matos,
voilà du matos (pour Sens)
"Aucun fait n’existe, à vrai dire, comme vérité indiscutable et contenue, bornée ; ne serait-ce qu’à travers le filtre des sens, de la conscience, le réel se dérobe toujours, ultimement, à son constat. "